7.
7. Laure et Ley
Dans le beau fleuve bleu portant le nom de Damona-Dana, ou Danube, les deux nymphes Laure et Ley eurent l’horrible surprise de voir l’eau se teinter du démoniaque sang versé par les batailles entre les Huns et les Goths.
Ce sacrilège, ainsi que ceux commis sur les fleuves Don et Dniepr, qui portent aussi son nom béni, ainsi que leur rapporta comme triste nouvelle les virevoltantes et voyageuses Fatae Trèfle et Muguet, leur fit invoquer la déesse mère Damona-Dana, et quelque part dans un bel éther bleu, trois silhouettes humanoïdes lumineuses conversèrent en silence par la pensée…
Ainsi alertée, Damona-Dana rappela les 7 œufs sacrés en Avalon…
Les lutins, voyant partir leurs amis faits de coquilles sans pouvoir rien n’y faire, se résolurent à sortir de leur prairie contenue dans une grande bulle, et à rejoindre la surface du Danuvios à la nage.
De retour à la réalité, il ne leur fallut pas trop de temps pour réaliser qu’il se passait quelque chose de grave aux alentours, et ils rejoinrent la rive ouest pour tranquillement s’avancer dans la forêt de Pannonie en toute sécurité…
Consultés au sujet de la sécurité des sept œufs sacrés, les Druides en conclurent qu’il fallait se résoudre à les déplacer magiquement, avant que les humains ne prennent tout cela un peu trop au sérieux, et ce malgré les coquilles ressemblant à de la roche pour les yeux non avertis…
En Avalon, dans la forêt magique du chêne Der, au sein du Val Perdu, en une terre invisible et pourtant à la fois proche et omniprésente, les Druides chantèrent en levant leur serpe plaquée d’or fin.
Dagda et Oghma entendirent leurs prières…
Les œufs disparurent… Puis réapparurent et atterrirent dans une province gallo-romaine de l’île de Bretagne, le Cantos.
Les œufs sacrés étant maintenant suffisamment éloignés de la convoitise des humains batailleurs, pour l’instant du moins, les deux nymphes furent chaleureusement remerciées, et libérées de leur gardiennage.
Ainsi, Laure et Ley s’établirent ensemble dans un autre fleuve de leur choix, lequel était et est toujours bordé de ravissantes collines verdoyantes ou, poussait déjà du raisin gorgé de soleil, le Rhin.
7. Laure et Ley
Dans le beau fleuve bleu portant le nom de Damona-Dana, ou Danube, les deux nymphes Laure et Ley eurent l’horrible surprise de voir l’eau se teinter du démoniaque sang versé par les batailles entre les Huns et les Goths.
Ce sacrilège, ainsi que ceux commis sur les fleuves Don et Dniepr, qui portent aussi son nom béni, ainsi que leur rapporta comme triste nouvelle les virevoltantes et voyageuses Fatae Trèfle et Muguet, leur fit invoquer la déesse mère Damona-Dana, et quelque part dans un bel éther bleu, trois silhouettes humanoïdes lumineuses conversèrent en silence par la pensée…
Ainsi alertée, Damona-Dana rappela les 7 œufs sacrés en Avalon…
Les lutins, voyant partir leurs amis faits de coquilles sans pouvoir rien n’y faire, se résolurent à sortir de leur prairie contenue dans une grande bulle, et à rejoindre la surface du Danuvios à la nage.
De retour à la réalité, il ne leur fallut pas trop de temps pour réaliser qu’il se passait quelque chose de grave aux alentours, et ils rejoinrent la rive ouest pour tranquillement s’avancer dans la forêt de Pannonie en toute sécurité…
Consultés au sujet de la sécurité des sept œufs sacrés, les Druides en conclurent qu’il fallait se résoudre à les déplacer magiquement, avant que les humains ne prennent tout cela un peu trop au sérieux, et ce malgré les coquilles ressemblant à de la roche pour les yeux non avertis…
En Avalon, dans la forêt magique du chêne Der, au sein du Val Perdu, en une terre invisible et pourtant à la fois proche et omniprésente, les Druides chantèrent en levant leur serpe plaquée d’or fin.
Dagda et Oghma entendirent leurs prières…
Les œufs disparurent… Puis réapparurent et atterrirent dans une province gallo-romaine de l’île de Bretagne, le Cantos.
Les œufs sacrés étant maintenant suffisamment éloignés de la convoitise des humains batailleurs, pour l’instant du moins, les deux nymphes furent chaleureusement remerciées, et libérées de leur gardiennage.
Ainsi, Laure et Ley s’établirent ensemble dans un autre fleuve de leur choix, lequel était et est toujours bordé de ravissantes collines verdoyantes ou, poussait déjà du raisin gorgé de soleil, le Rhin.