4) Les Saxons

    4. Les Saxons.

    350 : Année de naissance de Jarvis, né de parents Saxons venus du Jütland dans les marches de Dana, parmi les tribus des Alamans, ou Alles Menschen, qui regroupaient des éléments plus ou moins en marge, et ce en provenance de toutes les éthnies Goths, d’où le nom.

    La famille de Jarvis avait participé à la construction tout d’abord d’un simple marché, puis d’un village, et puis finalement d’une grande ville, et ce à un point de passage important, comportant un pont en bois qui reliait déjà les deux rives du Rhin.

    357 : Grande victoire de Rome sur les Alamans à Strasbourg que Rome convoitait en vue de la fortifier, et ainsi être à même d’exiger le péage pour tout passage de personnes ou de marchandises sur le pont du Rhin, qui était alors en bois.

    Vae Victis ! Criaient les légionnaires, tout en maltraitant les ennemis vaincus, ainsi d’ailleurs que leurs familles, comme le veut l’usage des Romains, culturellement avides de sang et de larmes.

    Profitant de la confusion générale créée par plusieurs jours de pillage par les légionnaires déchaînés, le très jeune Jarvis réussit tant bien que mal à fuir les massacres, se cachant partout, et plus tard grandit dans le serment de faire payer le prix du sang à ce cruel empire romain.

    Pour pouvoir ce faire, et dès qu’il le put, il parcourut les différentes tribus alentours, pour pouvoir instiller le désir de vengeance à l’encontre de Rome en général, jurant par Wotan de ne laisser nul répis à cet ennemi commun.

    365 : Huit années plus tard, commencent les incursions des Alamans dans l’empire romain d’Occident, à la stupéfaction générale.

    406 : Au dernier jour de l’année, Vandales Sueves et Alains franchissent le Rhin gelé à pied, la nouvelle parvient rapidement à Arras, les citoyens gallo-romains prennent la fuite au su des exactions et ses pillages commis par les Germains. Ces pillages virent l’apparition du néologisme vandaliser ».

    407 : Tournai Amiens Arras sont dévastées, puis les Germains déferlent vers la Loire, puis les Pyrénées. Les récoltes sont détruites. Burgondes et Alamans prennent aussi le chemin des pillages.

    449 : Victoire de Rome contre les Angles Jutes et Saxons au Mons Badonicus en Brittania.

    450 : Jutes, Angles et Saxons envahissent l’île de Britannia.

    455 : Vortigern défait par les Saxons

    4. Lothar
    350 : Année de naissance de Lothar, parmi les tribus des Alamans ou Alles Menschen, et plus précisément ceux qui avaient construit tout d’abord un simple marché, puis un village, et puis finalement une grande ville, et ce à un point de passage important, comportant un pont en bois qui reliait déjà les deux rives du Rhin.
    357 : Grande victoire de Rome sur les Alamans à Strasbourg que Rome convoitait en vue de la fortifier, et ainsi être à même d’exiger le péage pour tout passage de personnes ou de marchandises sur le pont du Rhin, qui était alors en bois.
    Vae Victis ! Criaient les légionnaires, tout en maltraitant les ennemis vaincus, ainsi d’ailleurs que leurs familles, comme le veut l’usage des Romains, culturellement avides de sang et de larmes.
    Profitant de la confusion générale créée par plusieurs jours de pillage par les légionnaires déchaînés, le très jeune Lothar réussit tant bien que mal à fuir les massacres, se cachant partout, et plus tard grandit dans le serment de faire payer le prix du sang à ce cruel empire romain.
    Pour pouvoir ce faire, et dès qu’il le put, il parcourut les différentes tribus alentours, pour pouvoir instiller le désir de vengeance à l’encontre de Rome en général, jurant par Wotan de ne laisser nul répis à cet ennemi commun.
    365 : Huit années plus tard, commencent les incursions des Alamans dans l’empire romain d’Occident, à la stupéfaction générale.
    370 : Pressé par les ambassadeurs romains, le premier roi burgonde, Gibica, imprime le mouvement des tribus burgondes, qui voyagent depuis le fleuve Oder vers l’Ouest, encouragés par de puissants rêves de conquêtes et de partage des richesses et des splendeurs de l’empire romain, qui fait d’eux des auxiliaires de Rome, de façon à pouvoir se débarrasser de la menace constituée par les puissantes tribus éparses des Alamans, de plus en plus actifs et incontrôlables, car constitués de groupes tous hostiles à Rome, et parfois même issus de l’empire romain, en tant qu’exilés, ou pire encore en tant que déserteurs, dénués de tout espoir a quant à un éventuel retour à la citoyenneté romaine.
    376 : Suite à plusieurs batailles menées sans espoir de victoire face à leurs ennemis, les tribus Goths sont finalement chassées du bord des rives du beau Danube bleu par les Huns, menés par un jeune chef ambitieux et fédérateur, Moundzouk.
    Moundzouk connaissait ses ennemis et l’art de la guerre. Il était conscient qu’en chassant les Goths des plaines de Pannonie, ceux ci devraient sans doute mettre une pression sans précédent sur les frontières de l’empire romain d’Orient en Thrace, et Moundzouk savait à quel point Rome et Constantinople n’aimaient pas les Barbares.
    Grâce à ce stratagème, Moundzouk n’excluait pas de réussir à s’allier successivement aux uns et aux autres de façon à gagner du terrain pour s’approprier Rome ? Les oracles avaient prédit des jours sombres pour les Romains, tous les rêves de conquête étaient donc permis, et cela commencerait avec une guerre à venir, qui serait sans doute longue et sans pitié, entre Goths et Romains, quitte à s’allier pour mieux pouvoir trahir ensuite ! Bref, quelques coups de génie et d’avance sur l’échiquier de la stratégie ! Moundzouk jubilait, le futur promettant moult richesses et pillages, au prix du sang versé. Quel chaos que tout cela.
    Dans le beau fleuve bleu portant le nom de Damona-Dana, ou Danube, les deux nymphes Laure et Ley eurent l’horrible surprise de voir l’eau se teinter du démoniaque sang versé par les batailles entre les Huns et les Goths.
    Ce sacrilège, ainsi que ceux commis sur les fleuves Don et Dniepr, qui portent aussi son nom béni, ainsi que leur rapporta comme triste nouvelle les virevoltantes et voyageuses Fatae Trèfle et Muguet, leur fit invoquer la déesse mère Damona-Dana, et quelque part dans un bel éther bleu, trois silhouettes humanoïdes lumineuses conversèrent en silence par la pensée…
    Ainsi alertée, Damona-Dana rappela les 7 œufs sacrés en Avalon…
    Les lutins, voyant partir leurs amis faits de coquilles sans pouvoir rien n’y faire, se résolurent à sortir de leur prairie contenue dans une grande bulle, et à rejoindre la surface du Danuvios à la nage.
    De retour à la réalité, il ne leur fallut pas trop de temps pour réaliser qu’il se passait quelque chose de grave aux alentours, et ils rejoinrent la rive ouest pour tranquillement s’avancer dans la forêt de Pannonie en toute sécurité…
    Consultés au sujet de la sécurité des sept œufs sacrés, les Druides en conclurent qu’il fallait se résoudre à les déplacer magiquement, avant que les humains ne prennent tout cela un peu trop au sérieux, et ce malgré les coquilles ressemblant à de la roche pour les yeux non avertis…
    En Avalon, dans la forêt magique du chêne Der, au sein du Val Perdu, en une terre invisible et pourtant à la fois proche et omniprésente, les Druides chantèrent en levant leur serpe plaquée d’or fin.
    Dagda et Oghma entendirent leurs prières…
    Les œufs disparurent… Puis réapparurent et atterrirent dans une province gallo-romaine de l’île de Bretagne, le Cantos.
    Les œufs sacrés étant maintenant suffisamment éloignés de la convoitise des humains batailleurs, pour l’instant du moins, les deux nymphes furent chaleureusement remerciées, et libérées de leur gardiennage.
    Ainsi, Laure et Ley s’établirent ensemble dans un autre fleuve de leur choix, lequel était et est toujours bordé de ravissantes collines verdoyantes ou, poussait déjà du raisin gorgé de soleil, le Rhin4. Lothar

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