Avant la Chronique, le déluge

    Deluge

    Le déluge

    Avant la Chronique, le déluge.

    Le premier cataclysme eut lieu il y a environ 8500 ans…

    Il était attendu ce déluge, par des humains sachant rêver jusqu’à s’élever dans un plan où les révélations arrivaient à se faire connaître, bonnes ou mauvaises.

    Ceci était permis par les 3000 divinités diverses évoluant tout autour de l’humanité, et ceci dans un plan légèrement de ce que nous appèlerions la réalité quotidienne, ou réalité crue.

    Dans ce plan tout était possible. Par exemple les divinités et les humains, qu’ils soient en train de rêver ou de méditer, pouvaient échanger dans une sorte de dialogue dans une langue justement indéfinissable, à la fois plus précise et pourtant dénuée de fioritures et surtout de vulgarité.

    Les personnes sachant le mieux rêver ou méditer étaient appelées les maîtres du rêve, avec le plus grand respect.

    Qu’ils soient blancs, asiatiques ou noirs, et quel que soit leur langage, les maîtres du rêve de tous les recoins de la belle petite planète bleu l’avaient vu venir, ce cataclysme, mais ils ne savaient pas encore expliquer l’ensemble des phénomènes, sachant juste que de nombreux symboles compliqués œuvraient pour sauvegarder la vie sous toutes ses formes, alors qu’à l’inverse des choses hostiles et assoiffées opéraient également, faisant de l’existence même une épreuve voire un piège tangible.

    À une époque lointaine et aventureuse, lorsque faire du feu était encore un rituel magique et mystique, une éclipse solaire, aussi totale qu’inattendue, vint ainsi brusquement interrompre les temps du rêve, où tout était finalement encore simple ou du moins entier dans la vie, notamment rêver et survivre.

    À ce moment précis l’imagination des rêveurs retint une sorte de serpent géant aux écailles ressemblant à de la lumière dorée, ne laissant derrière son passage qu’une seule plume métallique couleur dorée, constituée d’un alliage de métaux à priori impossible à reconstituer, et qui s’appellerait plus tard Orichalque, un nom cachant un mystère légendaire et ce pendant des millénaires.

    orichalque

    Ces plumes dorées furent utilisées pour tracer des choses dans le sable, d’abord petits puis de plus en plus grands, faisant ainsi naître dans les imaginations fertiles et fébriles des dessins nouveaux, qui évoluèrent dans l’esprit des gebs, qui ensemble œuvrèrent pour construire un immense abris de bois, qu’ils appelèrent la tortue de l’arc en ciel.

    Au moment où la Terre se retourna, les polaritétes du globe s’inversent de façon la plus brutale et la plus catastrophique, la diversité du vivant était déjà terrée dans cet immense et bel édifice de bois improbable.

    La dernière chose qu’ils osèrent regarder au dehors était finalement une immense tempête, qui menaçait bel et bien de tout engloutir sous les flots.

    C’était sans se douter qu’une magnifique dragonne d’orichalque, venue du ciel sans mot dire, vint protéger en déployant d’immenses ailes dorées cette petite portion de l’humanité et du monde vivant, contre le déluge, en ouvrant ses ailes déployées dans la forme de dôme, lequel était parfaitement étanche, puisque cette apparition miraculeuse l’avait voulut ainsi.

    Le dôme était grand, l’air respirable ne manquerait pas avant longtemps.

    Mais le bruit passait, tel un orage fracassant tout sur son passage, preuve s’il en était, de la difficulté de ce que vivait cette étrange et immense créature venue des cieux pour tout secourir, au péril de sa vie, pendant plusieurs jours, sans doute environ une semaine.

    Puis le déluge passa, et les créatures enfermées dans la tortue de bois sortirent et ne virent qu’un ciel sombre et pourtant doré, calme et serein après la tempête.

    Des plumes d’orichalque étaient tombées sur le sol, et ainsi était né l’âge dit « de bronze », promesse de découvertes et de connaissances sans cesse plus grandes pour l’humanité.

    Puis la dragonne dorée épuisée replia ses ailes, laissant apparaître l’infini ciel bleu, traversé par plusieurs arcs en ciel, sous une pluie étrange et presque sans nuages.

    Dragonne Orichalque disparut ensuite sans plus d’explications, sauvant l’humanité ainsi que la diversité du vivant, et lui permettant de repeupler la planète absolument partout.

    Dragonne dorée

    Au même moment quelque part dans un joli et harmonieux monde éthéral, à la fois ici et pourtant ailleurs, présent mais pourtant invisible au commun des mortels, prenait de la façon la plus naturelle qui soit la forme d’une douce clairière en automne sous les grands arbres au feuillage doré, la très belle et douce Déesse-Mère Damona-Dana, pleine de chagrin au vu de ce qui arrivait à cette belle planète bleu dans le plan de la réalité crue, réfléchit à une action plein de d’audace qui lui demanderait beaucoup d’énergie.

    Damona-Dana cueillit 7 pommes d’or du plus bel arbre, les embrassa et ainsi donna vie à ce qui devint de bien étranges œufs, au nombre de sept. Ces œufs étaient multicolores et de bonne taille, voire même de plus en plus grands.

    Damona-Dana appela ce coin de forêt la forêt du chêne-Der, en hommage à ses amis les Druides, et à cette vallée entourée de collines douces où un jour les raisins donneront un divin nectar, le Val Perdu. Ce bel endroit était une sorte d’île, qu’elle nomma Avallon.

    Elle confia ces œufs résolument magiques à deux de ses amies, de magnifiques nymphes, créatures à la fois humaines et aquatiques à la beauté d’albâtre, et répondant aux doux noms de Laure et Ley, qui en auraient dorénavant la garde.

    Les œufs merveilleux furent ensuite transportés par magie, en compagnie de leurs gardiennes, dans un grand et beau fleuve bleu, la couleur favorite de Damona-Dana.

    Les nymphes, si belles et libres dans ce fleuve, aimèrent par la suite de nombreux humains, tellement enchantés de ces rencontres qui les vidaient pourtant d’une partie de leur énergie vitale, et ceci sans qu’ils puissent s’en rendre compte, transmirent ainsi avec enthousiasme le nom de ce si beau fleuve bleu, Danuvios.

    Premier cataclysme, il y a 8500 ans…
    Qu’ils soient blancs, asiatiques ou noirs, et quel que soit leur lanagage, les maîtres du rêve de tous les recoins de la belle petite planète bleu l’avaient vu venir mais ne savaient pas encore expliquer l’ensemble des phénomènes, sachant juste que de nombreux symboles compliqués œuvraient pour savegarder la vie sous toutes ses formes.
    Une éclipse solaire inattendue vint interrompre les temps du rêve.
    À ce moment précis l’imagination des rêveurs retint un serpent aux écailles de lumière dorée, ne laissant derrière son passage qu’une seule plume métallique couleur dorée, constituée d’un alliage de métaux impossible à reconstitué et qui s’appellerait Orichalque.
    Ces plumes furent utilisées pour tracer des choses dans le sable, des dessins nouveaux naquirent dans l’esprit des calligraphes, et ils œuvrèrent pour construire un immense abris de bois, qu’ils appelèrent la tortue de l’arc en ciel.
    Au moment où la Terre se retourna, la diversité du vivant était déjà terrée dans cet édifice de bois.
    La dernière chose qu’ils osèrent regarder au dehors était une immense tempête qui menaçait de tout engloutir sous les flots.
    C’était sans se douter qu’une magnifique dragonne d’orichalque vint protéger cette petite portion de l’humanité et du monde vivant, contre le déluge, sous ses ailes déployées en forme de dôme, lequel était parfaitement étanche, puisqu’elle l’avait voulut ainsi.
    Le dôme était grand, l’air respirable ne manquerait pas avant longtemps.
    Mais le bruit passait, tel un orage fracassant tout sur son passage, preuve s’il en était, de la difficulté de çe que vivait cette étrange et immense créature venue des cieux pour tout secourir, au péril de sa vie.
    Puis le déluge passa, et les créatures enfermées dans la tortue de bois sortirent et ne virent qu’un ciel doré, calme et serein après la tempête.
    Des plumes d’orichalque étaient tombées sur le sol, et ainsi était né l’âge de bronze, promesse de découvertes et de connaissances sans cesse plus grandes.
    Puis la dragonne replia ses ailes, laissant apparaître l’infini ciel bleu, traversé par plusieurs arcs en ciel, sous une pluie étrange et presque sans nuages.
    Dragonne dorée disparut sans plus d’explications, sauvant l’humanité ainsi que la diversité du vivant, et lui permettant de repeupler la planète absolument partout.

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